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montagnes

PUBLICATIONS LXIX

Philosophie

Paysage d'hiver

JEAN-MICHEL TARTAYRE

 

 

 

 

PROPOS D’ART JUNGLE

L’Intégrité

 

 

 

 

Philosophie

 

 

 

 

 

J’ai toujours considéré l’existence avec appétit. Après m’être ce soir préparé l’omelette aux cèpes, avec beurre et échalotes, suivi du gâteau basque, j’ai apprécié mon dîner. Ensuite, le propos me sollicita pour écrire d'après l'un des chefs-d'oeuvre de Duras, dont simultanément je poursuis la lecture, par bribes, puisque je l'ai presque terminé.

 

Je ne m’identifie à personne. La raison me l’interdit. Il demeure crucial en effet de conserver la distance qui nous sépare, toute personne et moi-même, par respect, en considération de la liberté de chacune et de chacun. Jamais je n’oserai prétendre connaître telle ou telle personne parce qu’il est un fait absolu, celui des limites de soi. Lorsque je m’entretiens avec telle ou telle personne, le lien unique qui se réalise entre elle et moi, et participant donc de la nature, est la parole. Je suis exclusivement en acte, au sens juridique du terme, comme toute personne. Toute autre considération est vaine. Être à soi est non seulement un acte de prudence mais aussi la réalité de chaque actrice, chaque acteur, juridiques.

 

Il en va de même quand je lis un roman. Je ne m’identifie à aucun personnage. La raison me l’interdit. Tout personnage est un caractère. Et ce caractère s’accorde ou non avec l’idée du Bien. L’autrice, l’auteur, du roman nous découvre en premier lieu une action autour de quoi gravitent des caractères, une action que fondent les caractères héroïques. En l’occurrence, je m’accorde naturellement à la représentation du surmoi que telle héroïne, tel héros, peuvent incarner et m’en tiens à l’idée proposée par l’autrice, l’auteur, du roman, l’idée qui m’enrichit. Je suis à la lecture du roman comme une pierre qui roule. Du reste, je ne me pose pas de questions. L’autrice, l’auteur, les posent eux-mêmes de façon parfaite à des fins de résolution. Ce qui importe est de s’accorder avec la cohérence du roman. La personne de l’autrice, de l’auteur, me la propose cette cohérence. Il m’est dû d’en disposer en respectant la personne de l’autrice, de l’auteur ; c’est-à-dire, en conservant entre leur œuvre et ma personne la distance que raison impose. Je suis sur le seuil et ne dis rien. J’avance et n’entre pas. On me raconte une histoire, je l’écoute avec attention. L’expérience de l’autrice ou de l’auteur est toujours manifeste et me berce de sa lumière pure.

 

Je regarde ma montre. Il est presque minuit. J’ai fini le roman de Marguerite Duras. Je ferme L’Amant, le pose sur la table de bureau et vais me coucher parmi les senteurs de jasmin et de bergamote qui comblent l’air de ma chambre. Je reprendrai ce propos demain.

 

En ces quelques jours de repos que ma hiérarchie m’accorda, je profite du temps à lire et à écrire. La saison des pluies ne me permet pas d’aller à la pêche aussi souvent que je le souhaiterais. Le Capitaine B. bénéficie également de congés. Nous nous reverrons au terme de ces trois journées de pause. Je sais que le Capitaine B. ne s’interdit pas d’écrire, lui non plus. Pour ma part, en l’occurrence, j’ai presque fini mon travail de rédaction, eu égard aux notes que je prends au cours de chacune de mes actions de soldat au service de la République Française.

 

Aujourd’hui, des pensées me viennent en regardant la Montagne-qui-parle et mon jardin sous l’averse. Il est presque 9 AM. J’ai pris un Nescafé assorti de deux parts de brioche Pasquier. Je me suis douché, habillé. J’écris ces pensées sur la table du bureau, spontanément, avec respect, selon leur ordre de présentation. S’ensuit un rythme autour de quoi s’organise chaque vocable, une réflexion. Je suis seul devant la page ; la plume va, déposant la phrase inspirée sous l’effet de la cristallisation des notes musicales et florales reçues près le Chœur des Muses.

 

Je reviens à présent sur le sujet qui s’est proposé à la réflexion il y a deux jours, tandis que nous venions de résoudre une nouvelle affaire, mes collègues et moi, celui de l’intégrité. Demeurer soi-même, fidèle à l’idée de justice, à l’idée de loyauté, est dans la nature de l’être humain. Cette nécessité ne demande que peu d’efforts car la volonté s’accorde avec la logique de la fin essentielle : se rendre au secours des victimes. L’ordre de raison est l’ordre fondamental, celui auquel j’obéis. Il m’inscrit dans la dynamique des pulsations idéales, optimales, dont chacun des signes transcrits par la plume est le révélateur. L’existence, au titre de sphère significative, est une respiration que la plume par bonheur inspirée me transmet. De fait, je jouis des rythmes qu’elle confère à la page, tant dans le domaine de la lecture que dans le domaine de l’écriture. On m’assigna d’office sur le seuil, je le répète et, telle la sentinelle, j’agis d'abord à titre d’actant mis en jeu par la parole du Chœur des Muses afin de servir la sphère significative, soit l’existence. Je veille au bon déroulement du procès syntaxique que l’on institua et jamais ne quitte mon poste. Je vois et j’entends stricto sensu et, à cet égard, m’en tiens aux limites impérieuses de la sphère.

 

Le Secteur 3, par exemple, auquel j’appartiens, est une dépendance de la sphère rendant compte de mon statut social. Mes activités de lecture ou d’écriture, mes activités sportives, sont rattachées à ce Secteur. Mon statut social fonde la personne que je suis, comme le Secteur 3 fonde la cohérence de la sphère significative de mon existence, dans la mesure où il est rattaché aux quatre autres Secteurs dont ladite sphère est en outre structurée. L’ensemble des cinq Secteurs m’instituèrent actant et la sphère qu’ils représentent se définit comme ma raison de vivre ; une vie, la mienne, consacrée à la justice et au bonheur de l’Humanité. Moi-même signe dans cet ordre de raison, au même titre que mes sœurs et frères d’armes, je participe d’une écriture collective qui agit, impacte, à l’intérieur du pays et aux frontières du pays. Nous sommes notes dans le grand opéra de Nation. Nous sommes actrices et acteurs au service de l’Actant inspiré près le Chœur des Muses et notre demeure est le palais que Justice conçut, donna. À la faveur des Vertus, nous sommes !

JEAN-MICHEL TARTAYRE

 

 

 

 

PROPOS D’ART JUNGLE

La Vigilance

 

 

 

 

Philosophie

 

 

 

 

 

                                                Never let your fear decide your future.

                                                                           Martial Art Philosophy​

 

Tôt, on m’apprit à respecter l’état de veille, concept qui oblige après la nuit ou bien après les phases du sommeil. Le lever nécessite la prise de conscience immédiate, au jour. Le jour m’appelle en effet, je marche dans sa lumière et ne peux hésiter car je lui dois la grâce de me nourrir de sa parole, sensiblement différente de celle du sommeil. Se lever du lit implique ma vigilance eu égard à l’emploi du temps et aux actions qu’il convoque. Je suis dès lors en situation, au contact des choses mobilisant les sens ; je ne rêve plus. Le jour me reçoit, je suis son obligé par raison.

 

Le jour me situe dans ses rythmes nouveaux et sa constante. J’appartiens à l’existence, de ce fait je me range sous ses ordres : on m’attend, je me prépare, je démarre les Mercury, je salue la Forêt, le Grand fleuve, l’Azur, je dépends du timing, voué à l’impératif du bureau ; j’obéis.

 

La musique du jour me lança vers les objectifs parfaitement fixés et à réaliser dans le Secteur qui m’est assigné. Le langage du jour convoque ma vigilance ; j’accoste le quai, gravement. Je ne suis pas à moi, mais à Nous : par devoir et obligation. Non ce que je veux, ce que l’on me demande. Je dépends de l’ordre du jour. Il m’est dû de construire mon ego non relativement à l’écho narcissique mais relativement à la voix de Raison. Le temps est mon partenaire de ring. J’observe, j’écoute, j’agis en conséquence et me défie de la gêne par respect de l’enjeu, par nature. Vigie, je me dois d’éviter l’écueil et, pour ce faire, demeurer concentré sur les consignes propres à mon poste.

 

« Bonjour, Lieutenant. Vous êtes à l’heure. Voici le nouveau dossier. Je vous attends dans mon bureau, 10 AM. »

 

Je me cale à la parole du Commandant O., tel l’étai. Mon identité dépend de mes actes. Je suis à Raison et à ses valeurs fondamentales : la volonté de servir le Bien et la Justice, la prudence, le respect du code d’honneur nôtre qui se fonde sur la pratique de la vertu. Je veille et me défends contre moi-même surtout.

 

Je suis à soi comme au jour, la lumière me porte au secours de la personne innocente. Je vais au-devant de la personne en danger.

 

« Souvenez-vous, Jungle, que notre engagement est notre honneur, me disait ce matin le Capitaine B. à bord de la vedette tandis que lui et moi contrôlions le trafic des navires marchands sur le fleuve aux environs du Port de K., dans la perspective de le réguler. Notre honneur, notre devoir, Jungle. »

 

En tout cas la vigilance est de mise, nécessitant la distance suffisante et la réaction prompte face à l’infraction, au crime. La vigilance peut se concevoir par conséquent comme état sur le qui-vive et présence adaptée aux quatre éléments. Je suis vigilant, donc prêt à intervenir à la moindre perturbation et, de là, engagé dans la dynamique du secours. Je veille, respectueux des lois de la Justice, tant dans le domaine social que dans le domaine personnel. Je veille ; c’est-à-dire que d’abord je me surveille. Je suis vigilant, donc toujours apte à entretenir la cohésion sociale et à défendre mes sœurs et frères d’armes.

 

Tôt, on m’éveilla au bonheur d’être à soi. Mon existence est redevable d’une telle grâce. D’humeur égale, me devant de faire attention à la complaisance envers moi-même et de ne pas manquer d’autodérision, j’ai conscience de n’être pas seul ; j’opte naturellement pour la plénitude, le respect de soi et de l’ordre des choses. Il ne peut se faire d’amalgame entre soi et l’excès d’émotions. Cet amalgame au demeurant réussit dans l’Art, à lire, voir, écouter, l’œuvre proposée.

Chat sur le balcon

JEAN-MICHEL TARTAYRE

 

 

 

 

PROPOS D’ART JUNGLE

La Liberté

 

 

 

 

Philosophie

 

 

 

 

 

 

I

 

« Avec bonne humeur et sans complexes, Messieurs ! », nous disait le Commandant O. lors du briefing relatif à notre dernière mission. Je reviens sur cette précieuse recommandation pour introduire mon propos.

 

Ce sont des rythmes méritant que je m’y rapporte car il en va de mon intégrité. Où les sens demeurent mobilisés et confortent ma situation devant la page, dans ce cadre musical essentiel tandis que la radio diffuse les belles orchestrations, je peux en effet exprimer un propos, en l’occurrence celui de la liberté. Il m’est donné de penser et, à ce titre, je puis m’exprimer sans enfreindre la responsabilité qui m’incombe de m’en tenir aux limites de la raison.

 

Je me sens libre lorsque je ne me pose aucune contrainte à éprouver un tel sentiment. L’écriture est un moyen d’échapper à la négativité, qui empêche. La liberté est la valeur fondamentale autorisant, légitimant, l’expression de soi. Je ne m’en prends à personne excepté à moi-même quand je m’exprime devant la page. Ma liberté va avec la liberté de chacune et de chacun, par conséquent avec le respect de soi. Je ne m’en prends qu’à moi-même si le doute, l’inquiétude, la confusion, la peur irrationnelle, me contraignent à ne pas me sentir libre, à ne pas aimer la vie quand tout sourit à l’existence. Je me lève tous les matins, je vois le jour après le sommeil et c’est heureux. Tel est pour moi le sentiment de liberté que je me dois de respecter ; c’est ce qui doit m’importer avant tout à des fins de travail, d’efficacité dans le travail, de sociabilité. Je ne peux logiquement aller contre le sentiment de liberté ; dans le cas contraire il s’agit d’une erreur, erreur à corriger aussitôt. Il en va, là encore, du respect de soi. Je ne suis libre que si je me respecte.

 

Lire, écrire, faire du sport, sont des activités qui éduquent à l’idée d’être à soi comme aux autres. La liberté et la créativité vont de pair nécessairement. Raison me porte vers la réalisation de cette alliance et le mouvement naturel où l’alliance cristallise. Je suis sur le seuil que l’inspiration m’ordonne et m’en tiens à ce poste. Je ne reviens pas sur moi-même. Je suis l’obligé de l’inspiration. Je sers le jour.

 

On m’établit sur le qui-vive, je sais réagir pour Nous et nos valeurs, que fondent les vertus. Je réponds au concept du bonheur par devoir d’abnégation. Mon sentiment de liberté ne peut s’accorder avec l’illusion. Ma liberté consiste à ne pas m’illusionner, à ne pas me leurrer. Mon sentiment de liberté est dû à la prescription du jour et de la nuit, à l’ordre de Nature. Je ne mens pas, l’honnêteté est cruciale, car Nature ne ment jamais. Je suis libre par nature. Ayant tôt appris à me connaître grâce à l’enseignement des Sages, j’engageai. Mon sentiment de liberté va de pair avec le concept de Justice. Je suis guidé par la Liberté comme je sers la Justice, avec abnégation. Il n’est pas question de moi, non, il est question de Nous. Trahir la logique de pareil argument m’est impossible. L’entente à cet égard s’accorde avec le sentiment de liberté. Je comprends l’entente comme le contraire de l’égoïsme. On ne peut être libre sans les autres. Ma liberté va avec la liberté de chacune et de chacun de mes sœurs et frères d’armes.

 

On dépend avec raison les uns des autres sous l’égide de la Liberté.

 

 À la faveur des Vertus, comme le dit le Capitaine B., nous marchons.

 

Je ne peux me sentir libre somme toute que sur le seuil, aux rythmes dont la plume, envolée près le Chœur des Muses, est dépositaire, à l’ordre du jour et de Raison.

 

 

II

 

S’interroger sur la liberté, c’est se poser la question des droits et devoirs de la personne. La personne est personnalité juridique. Je comprends l’existence sous l’angle de mes droits et devoirs. Le concept de Liberté oblige juridiquement. Je n’usurpe pas, je n’agresse pas. Je défends. Je demeure intact. Mon sentiment de liberté est ma propriété : je me dois de le protéger en me protégeant d’abord contre moi-même.

 

Le cadre de la raison où je dois m’inscrire me maintient dans les limites de mes droits et devoirs.

 

Je me trouve chez moi, face à mon jardin, au pied de la Montagne-qui-parle. Le sentiment de liberté que j’éprouve est toujours simple, à regarder le ciel et ce paysage qui m’entoure ; il se confond avec le bonheur, il m’appartient. Ma demeure est le fruit d’un travail à la fois institutionnel, stricto sensu, et personnel. Elle me protège et me conforte dans l’idée d’autonomie. Mon engagement au service de l’État français résulte d’un choix décisif pour mon avenir.

 

Aujourd’hui, ce sentiment de liberté que j’éprouve à exercer mon travail, à lire, écrire, à pratiquer le sport est dû à ce choix. En outre, je ne peux concevoir le sentiment de liberté sans la puissance de l’amour. La rencontre d’une dame est l’axe autour duquel s’organise mon travail, mon écriture. Me sentir libre ne va pas sans la prégnance merveilleuse. Il en résulte une énergie positive qui me fait me sentir simplement bien. On ne peut vivre sans raison ni amour. Le sentiment de liberté ne peut s’éprouver si on n’aime pas la liberté avec raison. Je lui offre un bouquet de roses de Damas, je l’écoute, je m’adresse à elle, je respecte absolument sa personne.

 

Elle dit : « Mission validée, Lieutenant Artemus Jungle. Bon courage. » Je sors de son bureau et le bonheur ajoute à mon sentiment de liberté. Il en résulte des rythmes dont la plume, à laquelle le Chœur des Muses s’adressa instamment, est la dépositaire.

JEAN-MICHEL TARTAYRE

 

 

 

 

PROPOS D’ART JUNGLE

La Cohésion

 

 

 

 

Philosophie

 

 

 

 

 

 

 

Mon obéissance ne peut se comprendre qu’au regard de la logique qui s’impose par nature. Je ne suis pas seul et dépends de l’institution. Mon engagement se réalisa tôt en connaissance de cause, au service de l’institution.

 

Je relève d’un cadre dont la raison fixe les limites et ces limites sont d’ordre juridique.

 

Je m’inscris dans un ensemble à titre d’élément participant de l’économie de l’ensemble. Il en résulte de ma part la prise de conscience de soutenir la cohésion dudit ensemble ; prise de conscience de chaque instant. Je suis lié à l’ensemble par raison et engagement décisif. J’agis pour Nous en d’autres termes et ce Nous demeure infaillible, incorruptible, j’en ai conscience ; état de conscience qui me forge à soi.

 

Cet état de conscience est collectif, de fait. Nous partageons les mêmes valeurs, qui sont autant de vertus. Le code d’honneur nous obligeant, nous servons ainsi la cohésion sociale avec l’idée qu’aucune personne ne doit être laissé-pour-compte. Notre esprit de cohésion participe de l’équilibre universel, il est l’harmonie qui défend les vertus. De même que le poème s’entend par l’harmonie des signes qui le composent, de même l’ensemble dont je relève s’entend par l’entente entre Nous, qui le compose et le fonde. Une cohésion somme toute qui ne peut se faire sans la cohérence nécessaire dont l’harmonie est la fin.

 

L’ensemble se définit par plusieurs vocables tels l’unité, l’escadron, la brigade, le régiment. Je suis fier avec modestie en m’appliquant tous les jours à honorer les valeurs que l’ensemble induit. À titre d’élément la modestie s’impose et je m’en tiens au cadre que Raison fixe.

 

« Vous avez une nouvelle enquête, Jungle. Je vous revois dans une heure, le temps que vous analysiez le dossier. », me disait par exemple le Commandant O. ce matin. Je lis le dossier, nous ouvrons l’enquête le Capitaine B. et moi. Nous démarrons. Je mets le moteur en marche. Nous partons interroger les témoins puis enchaînons, la filature, la prise de notes, le constat probant, l’interpellation.

 

L’ensemble est la combinaison rythmique qui m’assimile à une note. Et, à ce titre, je me dois d’être juste. J’écoute, j’apprends sans cesse sous les ordres et aux leçons de ma hiérarchie. La place que l’on m’attribua est ce poste de défense qui me conduit au-devant des victimes afin d’en résoudre heureusement le malheur. La dynamique qui me porte à leur secours se nomme ergonomie. Elle m’associe physiquement et moralement à la pratique exclusive du Bien. Il nous est en effet ordonné de préserver l’intégrité de la personne innocente contre l’agresseur. J’y réponds, nous y répondons, comme le dit le Capitaine B. à la faveur des Vertus. Notre cohésion se réalise concrètement par la force de la stratégie, chacune et chacun d’entre nous demeurant l’unité qui en fonde la cohérence. S’ensuit la tactique optimale. Notre cohésion au demeurant doit, telle la ruche, porter chacune et chacun d’entre nous à la réussite du secours ou de la performance inspirés par le Bien exclusif.

 

Comme le Poème ou l’Essai dont la lecture établit la cohérence, l’Ensemble auprès et au nom de quoi j’engageai est la valeur absolue où mon existence trouve sa plénitude, sa cohérence. Le Chœur des Muses le fonda.

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Éditeur : Jean-Michel Tartayre

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