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Chronique du recueil Face Nord

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Christian Saint-Paul,

http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html

27 décembre 2018.

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Jean-Michel TARTAYRE, l’invité de l’émission, publie un nouveau recueil à Encres Vives Face Nord, coll. « Encres Blanches », 6,10 €, à commander à Michel Cosem, 2, allée des Allobroges, 31770 Colomiers.

 

« Face Nord est la pente vers laquelle ma recherche s’oriente, confie Jean-Michel Tartayre.  C’est ce qui est dur et en même temps c’est une vraie réalité. Le mental doit s’adapter à cette réalité. La poésie est une prise de contact avec le réel, permanente. C’est une adhésion à la pierre, à ce qu’elle représente. Du Bouchet, c’est l’écriture lapidaire. Le support c’est la pierre. C’est comme avec le haïku, les samouraïs écrivaient avec un sabre sur la pierre. Les romains, les grecs, les égyptiens écrivaient sur la pierre. C’était à la hache. Je ne peux dissocier le support du signe. Face Nord, c’est aussi ma fascination pour la montagne. Le roc demande à être perçu. C’est la verticalité, c’est l’effort. Un dépassement physique et spirituel. Patrick Edlinger, alpiniste exceptionnel, disait simplement : « je grimpe ». Ces deux mots suffisent. Ils résument une vie d’homme. C’est pareil pour le poète, il faut qu’il grimpe ! Le poète n’est pas celui qui invente ou démontre mais fait devenir, disait Saint-Exupéry. Je lie la poésie à la mathématique. La mathématique, c’est l’esprit et le corps, c’est la seule réalité. La mathématique, c’est la perfection, comme la poésie ! C’est la recherche de l’accomplissement de soi, la plénitude. »

Annonce du Salon du livre de Toulouse, organisé par l'Académie des livres de Toulouse

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Pierre Estournel,

La Dépêche du Midi, 19/09/2018

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Chronique du
recueil Neptune

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Christian Saint-Paul,

http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html

04/10/2018.

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La mer, elle est dévorante dans le dernier recueil de Jean-Michel Tartayre Neptune. La mer, qui mettait « ainsi qu’une femme » à genoux Rimbaud, poème qu’il cite en exergue, est dans la multiplicité des éléments qui la façonnent, repos et mouvement et la principale composante de notre monde, avec l’air et la terre.

 

Dans ces poèmes, le ton de la célébration, adopté depuis peu dans les derniers recueils de ce poète, est toujours de mise et il ne peut en être autrement devant l’éblouissement de cette immensité de la mer. Mais la volonté surmonte ce saisissement « la volonté comme condition nécessaire - / de voir et d’entendre » [...] tient la hache du soleil ». Et la mer aussi est une hache, « musicale » cette fois. La volonté est le leitmotiv de ces poèmes. Elle « adhère » à la fois au réel, celui du littoral et à la fluidité de l’instant. Elle s’incarne tout naturellement dans Neptune avec « La justice de son trident, - / la célérité de son attelage, - chevaux et dauphin » et son « regard intraitable » qui s’ouvre à l’horizon. Citant Giordano Bruno « C’est donc vers l’air que je déploie mes ailes confiantes », il affirme ne «jamais transiger sur l’ordre des choses ». Et c’est certainement cela la vocation du poète, nous ancrer au réel, être partie liée avec la perfection du cosmos,   « sa  loi d’attraction ».

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Chronique des recueils
Autour des aubes grises (Alcyone)
et Les Sources (Encres Vives)

 

Gilles LADES,

Revue Friches-Cahiers de Poésie Verte n° 127, 2018.

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Jean-Michel TARTAYRE : AUTOUR DES AUBES GRISES

Ed. Alcyone, octobre 2018, 18 euros.

 

     De page en page, le poète nous conduit, en un tour de force de subtilité, à travers l’espace qui sépare la nuit de l’aube dans une grande ville.

 

  L’écriture se fait modeste, renonce aux prestiges et aux solennités.

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    C’est un monde obscur mais en éveil qui gouverne : « des lueurs commencent à parcourir la brume »

 

    Parfois, une forte image se détache : « le périphérique aux allures de grand fleuve étincelant ».

 

     Le plus souvent, le regard saisit l’objet sur fond de flou : « les arbres – lignes de vapeur grise à la verticale du champ » quand ce n’est pas l’image des choses qui vient au premier plan : « l’œil où infusent les lueurs gris bleu ».

 

     La poésie se donne pour mission de traduire l’impressionnisme des heures entre nuit et jour, afin d’atteindre à « la grise mélodie du silence ».

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   L’auteur évite la densité métaphorique pour laisser place à la sensation : « une lueur s’est posée sur la pierre ».

    Cette comparaison dit bien le retentissement des impressions :    « Les gouttes d’eau zébrant la vitre / tel un chaos de larmes ».

 

  Le poète est d’abord à l’écoute, dans une sorte d’auto-auscultation, « du réel au-dedans qui contient ». Dans cet univers verlainien (« où l’imprécis au précis se joint »), le vague et l’incertain sont la matière même des choses. Néanmoins, au-delà des impressions, c’est bien une réalité plus substantielle qui est visée : « Aiguiser les sens / pour crever / cette sorte de bulle narcissique / qui empêche ».

 

   

 

 

    Jean-Michel Tartayre a également fait paraître (n°472 de la revue Encres Vives) le recueil Les Sources.

 

     Alors que dans Autour des aubes grises, le poète allait au-devant des complexités de notre « être au monde », en se coulant et en se fondant à l’intérieur des plus intimes perceptions, il définit ici un propos plus volontariste : comment cerner la lumière, et celle qui la concentre, c’est-à-dire l’eau ? Il ne s’agit pas seulement de la clarté extérieure, mais aussi du flux de notre vie intellectuelle :

« les mots / donnant l’image / d’une eau qui coule ».

 

       Il remonte aux origines de notre activité onirique :

« comme dans une rose / retrouvant la source / que l’on croyait avoir perdue ».

 

      La lumière et les mots fusionnent pour former finalement « la source inépuisable / d’un grand torrent d’amour ».

 

Gilles LADES, Revue Friches- Cahiers de Poésie Verte, n°127, 2018

lumières de Noël
Pont suspendu Rainforest
Serre
Yellow Water Lily
Rencontre avec Jean-Bernard Pouy

Montpellier, Médiathèque centrale Émile-Zola, 26 avril 2018

En partenariat avec la librairie Sauramps, Soleil Noir et + de FIRN

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Facebook Sauramps, 13 mai 2018. Programme - Vidéo

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Le 26 avril 2018, la Librairie Sauramps recevait Jean Bernard Pouy à Montpellier pour la sortie de son livre "Ma ZAD" !


Ce « défenseur opiniâtre de la littérature populaire, partagé entre critique sociale, distance cynique, humour lamentable et gravité libertaire » ainsi qu’il le revendique, est une figure incontournable du roman noir français.

Captures de l'intervention

Jean-Michel TARTAYRE a été interviewé à l'issue de cette rencontre :

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Pendant 10 ans, j'ai été un boulimique de polars. Tout ce qu'il y avait comme polars, je les lisais. Comme je m'intéresse aussi à la poésie, Jean-Bernard Pouy m'a interpelé dans ce genre. Il y a du langage parlé, on est dans  du langage sincère. Je pense que, quand il écrit, il est franc du collier.

Vidéo de la rencontre

Cette année encore, c'est une grande variété d'artistes et d'oeuvres de qualité qui sont accueillis dans les murs de la mairie. Marie-Anne Martinez, présidente de l'association Mosaïque-en Val et Jannick Pavageau, adjointe aux affaires scolaires, ont remercié la Drac, la mairie, le conseil municipal et le 1er adjoint présent M. Ferté, la médiathèque Amélie Galup, partenaire du festival, ainsi que les bénévoles qui ont contribué à la réalisation de cette superbe exposition. Au programme une invitée d'honneur, l'artiste Coco Téxèdre, féministe et engagée accueillie en résidence, des poètes de notre région : Jean-Michel Tartayre et Cédric Lepenven, qui ont dédicacé leurs recueils, des artistes du livre, mais aussi un travail d'ateliers avec les écoles, les collèges, les EPAD et les associations sur le thème : Questions de temps. C'est un plaisir de déambuler dans les salles de la mairie et de feuilleter (avec des gants blancs) ces livres colorés aux textures inattendues, de découvrir une bribe de poésie, de s'interroger sur un objet énigmatique ou de contempler une oeuvre abstraite qui prend sens dans ce contexte. Les travaux des élèves des ateliers sur la question du temps dirigés par Muriel Limonet, ont donné des résultats originaux très remarqués. Toute la semaine seront exposés des livres d'exception, prêtés par les médiathèques du département et de l'Aveyron.

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Le salon des éditeurs s'est déroulé ce week-end mais le Festival dure jusqu'au 6 mai.

Inauguration de la 17e édition

 

Le Petit Journal du Tarn-et-Garonne, 1er mai 2018

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Le poète Jean-Michel Tartayre présente ses recueils

Photographie de M. Philippe Legru

Jeudi, après le repas et avant la reprise des cours, Jean-Michel Tartayre, professeur de français et latin au collège, a présenté au CDI son nouveau recueil de poèmes intitulé «Autour des aubes grises «et publié aux éditions Alcyone. Une quarantaine d'élèves et des professeurs ont écouté attentivement et dans un silence impressionnant Jean-Michel Tartayre lire quelques-uns de ses poèmes et les commenter. Ils ont été écrits le matin, pour la plupart, dans le train qui l'amène de Toulouse à Saverdun.

 

« L'aube est un espace entre le jour et la nuit où la rêverie rejoint la réalité dans une démarche surréaliste», a expliqué l'auteur. Peu de questions ont été posées par peur de briser le charme d'un moment magique, qui s'est poursuivi avec la lecture d'une poésie écrite le matin même par une élève de 3e. Un pur moment de bonheur littéraire.

De la poésie au collège

 

La Dépêche du Midi, 20 novembre 2017

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Jean-Michel Tartayre a conquis son public d'un jour / Photo DDM.

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Les élèves de la classe de troisième C du collège du Girbet ont participé au concours de l'académie des Jeux Floraux 2017 sous la conduite de leur professeur de français-latin Jean-Michel Tartayre. Célian Massip a obtenu la médaille d'argent dans la section « concours des jeunes poètes », qui s'adresse aux jeunes de moins de 26 ans, pour son poème sur la mer intitulé Marine. Jean-Michel Tartayre, lui aussi primé dans sa catégorie, a reçu la médaille de vermeil pour son recueil de poèmes Vers l'été, suivi de Fractions du jour. Ces récompenses leur ont été attribuées lors de la cérémonie solennelle de remise des prix des concours de poésie et de prose, en français et en occitan, organisée comme chaque année depuis sept siècles par l'académie des Jeux Floraux dans la salle des Illustres du Capitole, à Toulouse.

 

Dernièrement, le principal du collège, Jean-Claude Germé, entouré de professeurs, de personnel administratif et d'élèves, a tenu à féliciter officiellement Célian Massip et Jean-Michel Tartayre, qui avait aussi obtenu le grand prix de poésie des gourmets des lettres en octobre 2016.

Un collégien et un professeur médaillés pour leur poème

 

La Dépêche du Midi, 22 mai 2017

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Célian Massip a reçu la médaille d'argent et Jean-Michel Tartayre, professeur de latin-français, la médaille de vermeil / Photo DDM.

« Il faut complimenter tous les élèves qui ont participé au concours, n'hésitant pas à se lancer dans la composition poétique, un art exigeant qui requiert d'éminentes qualités de créativité et d'expression. Félicitations à Célian pour son poème primé, qui révèle de véritables talents prometteurs », a dit son professeur Jean-Michel Tartayre. L'académie des Jeux Floraux, créée à Toulouse en 1323, est la plus ancienne société savante d'Europe. Elle entend promouvoir la poésie, « le plus beau des arts » pour Guillaume Apollinaire, sous toutes ses formes et la littérature d'une manière générale.

« L’édition 2017 du festival de poésie “50 poèmes pour la neige” organisée par l’association Des Livres et des Idées avec la collaboration de Convergéncia Occitana, Radio Occitanie et des éditions N&B, s’est tenue le vendredi 24 février (...) Jean-Michel Tartayre, poète et professeur de Lettres, a lu des extraits de ses poèmes (Vers l'été suivi de Fractions du jour édité chez n&b) dont nous retiendrons une magnifique évocation de la haute montagne avec des cimes minérales et abruptes où granit et neige se rejoignent. »

Des livres et des idées

Chronique du recueil Vers l'été suivi de Fractions du jour (éd. N&B) :

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     Vers l’été : cette première partie est une promesse avant  tout de lumière et de plénitude. Mais le poète ne donne pas de contours précis au paysage, qu’il soit champêtre ou urbain. Il aborde cette quête sans se nommer. Le « on » ouvre un libre espace à la conscience, au regard, qui adhèrent aux différents aspects de  l’être :

     « Eau vive,

        La vie va – c’est tout ».

     L’infinitif suffit à nommer le processus : « commencer »… Le complément manque : « le temps dessille, lent », mais l’esprit n’en bondit que plus loin. Le poète est ici homme de notations, allusif :      « Pluie au-dedans dehors ». Cette sorte d’hésitation devant les choses emporte notre adhésion : nous devenons les agenceurs de cet espace, les énonciateurs d’un sens :

     « Une phrase peut-être,     qu’on ne connaît pas –

        Du moins pas encore ».

     Dans le silence de la découverte, le poète et le lecteur déchiffrent le texte des choses.

    

     La seconde partie, Fractions du jour, est composée de poèmes qui ont retrouvé la fluidité et l’unité. La montagne reste un moment dans l’objectif comme photographique du poète, puis la recherche et le rêve tentent de donner un contour à l’impondérable :

     « Le ciel plus blanc. // Comme s’il emportait les minutes / avec lui / ; … on cherche à joindre / l’œil et la parole / ;  fusion seule à desserrer l’étau / du temps ».

     Cet ouvrage, où chaque mot, chaque silence, chaque espace ont leur poids, se bâtit entre deux pôles :

     « la parole en germe / où semble refluer l’énergie »,

et  « l’écriture comme lien avant tout ».

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Gilles LADES, Revue Friches-Cahiers de Poésie Verte n° 123, 2017.

De la poésie au collège

 

La Dépêche du Midi, 15 novembre 2016

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Jean-Michel Tarayre est intervenu au Girbet./Photo DDM.

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"Après les cours et avant le repas, quoi de mieux pour se délasser et aiguiser l'appétit que de discuter poésie avec Jean-Michel Tartayre, professeur de français, latin et théâtre au collège et auteur de poèmes. C'est ce qu'on fait une vingtaine d'élèves, quelques professeurs et le principal Jean-Claude Germé, jeudi dernier. Les questions ont fusé, toutes d'une pertinence étonnante pour cet âge et par rapport à un thème, la poésie, que l'on pouvait penser ringard chez la jeunesse actuelle. Il n'en fut rien. Jean-Michel Tartayre, en auteur passionné par le plaisir d'écrire, a captivé son auditoire. «La poésie c'est le goût des mots et leur articulation ; c'est aussi un rythme et des résonances. L'écriture est un exutoire et quelque part, une quête de soi», a expliqué, convaincu et convaincant, Jean-Michel Tarayre avant de lire quelques-uns de ses poèmes dans un silence qui en disait long sur l'intérêt porté par tous les participants. Moment rare de pur bonheur littéraire."

 

Site internet

« Pour la plupart d'entre nous qui ne pouvons nous offrir une toile de Vincent, l'écrivain Jean-Michel Tartayre met à notre disposition sa galerie de peintures : chacune d'elles, présentée sous la forme d'une poésie, évoque une œuvre de Van Gogh. Que fait le poète Tartayre ? En fait, il superpose son propre langage à celui de l'artiste-peintre et parvient ainsi à une saisissante approche de l'œuvre, examinée avec une précision d'entomologiste... et de poète inspiré (...). L'auteur est un compositeur d'images, de musiques et un agitateur de sentiments exprimés tout en nuances qui constituent le sédiment de toute création. »

Jeannine-Julienne BRAQUIER, Revue indépendante - Syndicat des journalistes et écrivains, oct-nov-déc. 2007, n° 315.

« Jean-Michel Tartayre, professeur de Lettres Modernes au lycée de Montauban [signe] un ensemble poétique sous le titre Van Gogh tonnante clarté, placé sous l'égide d'Antonin Artaud. Chaque texte part d'un tableau du peintre et l'interprète librement. »

La Hulpe à la loupe : bulletin communal d'information, mars 2007, n° 1, p. 13.

Jean-Michel Tartayre : « Le poète est un être un peu flou. Mais il a des choses Ã  dire. » 

 

À l'occasion de la 10e édition du Festival du Livre d'artistes "Sous couverture" de Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne), un film documentaire d'une durée de 21 minutes a été réalisé par Place de la halle TV, une télévision locale en Pays Midi Quercy.

« Saint-Antonin-Noble-Val. Salon du livre: artistes et éditeurs en vedette ce week-end. »        La Dépêche du Midi, 5 mai 2011.

 

« Saint-Antonin-Noble-Val. Pique-nique poétique. » La Dépêche du Midi, 8 mai 2012.

Radio Occitania (lespoetes.fr), Christian Saint-Paul, émission du 28 mars 2013

 

« Plusieurs fois édité par Encres Vives, Jean-Michel Tartayre, professeur toulousain - comme quoi Toulouse est riche en matière de poètes - publie dans cette collection "Encres Blanches"  Pandore. On sent la culture classique. Son éditeur Michel COSEM a écrit à son auteur à propos de cette publication : "J’aime particulièrement cet ensemble qui me semble renouveler votre écriture" ».

  

EXTRAIT :

 

 Elle naquit des brumes matinales couvrant une forge d’orfèvre,

 au terme d’une nuit où l’ouvrage prenait peu à peu l’indépendance d’un corps solaire

 sous la conduite de la fantaisie et de la main preste.

 Elle naquit des brumes matinales

 gardant secret l’atelier où avait pris forme la teneur d’une offrande

 qui consistait dans l’alliance du charme,

 de la beauté et de l’art.

 La lumière du ciel se répandait à l’origine d’une nouvelle ère,

 Ã  l’aube d’une nature rajeunie dans les concerts de ramages

 et les chorales de fleurs.

 Elle naquit des brumes matinales tendues comme des voiles

 celant les fruits d’une métamorphose intime

 que seuls les regards naturellement amènes pouvaient cueillir.

 Figure apparue sur la scène des trois règnes à l’instar d’une danseuse,

 elle tissa des liens,

 anima des correspondances.

 

Radio Occitania (lespoetes.fr), Christian Saint-Paul, émission du 05/12/2013

Présentation du recueil Marines, avec lecture d'un extrait "La Femme du port"

 

Christian Saint-Paul : « Encres vives est une revue indispensable à mes yeux. Elle permet d’avoir immédiatement un aperçu identifiable d’un auteur. J’entends : c’est une revue consacrée à un auteur. Le dernier numéro : Marines, de Jean-Michel Tartayre, 425e numéro. L’ensemble, c’est un recueil qui cerne bien l’auteur. Un ensemble de tableaux variés, fruit de l’amour immodéré du poète pour la mer. Nous le suivons volontiers dans cette passion qui remonte à l’origine du monde. »

 

Michel Cosem : « Encres Vives, c’est un moment de création qui donne un éclairage sur l’œuvre d’un auteur, là en l’occurrence Jean-Michel Tartayre qui est de Toulouse et qui je crois est en train de développer une Å“uvre intéressante, originale, pleine de chemins de traverse quelquefois. Et là, dans Marines, c’est le titre de ce recueil, il reprend toutes sortes de tableaux, de souvenirs, d’images qui ont rapport avec la mer. Il a été publié plusieurs fois par Encres vives. Â»

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